Sans toi je n’irais plus, je crois,
Sans frayeur dans les bois
Sans frayeur dans les bois
Peuplés de tant de choses
Et surtout de silence,
Et surtout de silence,
Un silence royal
Qui parfois vous exclut.
Qui parfois vous exclut.
Guillevic, Lyriques.
(Les poèmes de Guillevic, ainsi que ceux de Norge, sont courts et denses comme des haïkus, d'où leur publication ici)